Un vin de Chablis entrant dans la préparation de cette recette, vous pouvez servir le même vin à table. Demandez conseil à votre caviste afin de choisir un Chablis fruité et en rondeur, de préférence d'un millésime plus mûr, plutôt qu'un style plus vif et minéral.

Cette recette comprenant trois types de viandes nous dirige naturellement vers un vin rouge de cépage Pinot Noir, mais aussi à un blanc plus gras. Le Pinot Gris, avec son volume généreux et ses notes fumées, se marie particulièrement bien avec un Baeckeoffe, ainsi que les viandes en général.

Une question qui revient souvent est le choix du vin pour la préparation du boeuf bourguignon. Ce plat étant originaire de la Bourgogne, la réponse évidente est un rouge d'AOC Bourgogne générique, pas trop sophistiqué, car les prix peuvent grimper très vite. Consacrez plutôt votre budget pour le vin dans le verre ! Dans ce cas, opter pour un Pinot Noir plus complexe de la Côte de Nuits, que ce soit une des sous-appellations régionales, voire un village spécifique tel qu'un Vosne-Romanée ou un Morey-Saint-Denis pour les grandes occasions. Si le caractère régional n'est pas une priorité, certains préfèrent servir des vins plus charnus tel qu'un Cabernet Sauvignon, une Syrah, ou un Pinot Noir plus mûr du nouveau monde.

Ce plat étant souvent servi en accompagnement de viandes corsées, un rouge de cépage Pinot Noir sera le vin de choix pour ce repas automnal. Avec quelques années de vieillissement, le vin développera des arômes de champignon et de sous-bois qui complémenteront à merveille les châtaignes.

Bien que l'on associe souvent la bière à la choucroute, rien ne vaut un bon Riesling minéral, surtout quand celui-ci fait son apparition dans la recette. Ouvrez un Grand Cru pour les grandes occasions.

Comme le suggère le nom de la recette, un Riesling sec sera le meilleur choix pour accompagner ce plat. Si possible, servez le même vin qui est utilisé pour la cuisson du coq, ou alors dirigez-vous vers un Riesling plutôt rond et fruité pour assurer l'équilibre avec la crème. Un Pinot Gris sera aussi le bienvenu.

En règle générale, il est conseillé de servir un vin similaire, sinon le même vin, qui entre dans le plat. Selon l'occasion et la compagnie, on pourra choisir un simple Bourgogne rouge, ou bien un Côte de Beaune élégant et fruité, mais surtout rien de trop puissant (comme un Pommard par exemple). Certaines appellations moins connues tels que Savigny-lès-Beaunes ou Auxey-Duresses offrent un excellent rapport qualité-prix, et accompagneront à merveille un bon coq au vin.

En règle générale, le vin qui figure dans une recette se doit d'accompagner le plat à table. Ceci est particulièrement le cas pour le vin jaune, dont le fort caractère s'exprime clairement dans cette classique variante jurassienne du coq au vin. La présence de morilles dans la sauce renforce ce choix, le vin jaune étant un parfait compagnon pour ce champignon aux saveurs intenses. Le choix évident se porte sur un Château-Chalon, mais un Arbois jaune ou même un simple Savagnin élaboré dans la méthode traditionnelle se marieront parfaitement avec ce plat typique de la gastronomie jurassienne.

Ce plat saccordera au mieux avec un blanc de cépage Chardonnay de la Côte de Beaune, que ce soit la sous-appellation régionale, ou un village spécifique tel qu'un Pernand-Vergelesses ou un Chassagne-Montrachet pour les grandes occasions.

Une entrée parfaite pour des soirées entre amis, pourquoi ne pas commencer par un Crémant de Bourgogne. Choisissez de préférence un Blanc de Blancs qui offre une acidité plus marquée qui tranchera avec la richesse du fromage, tandis que les bulles vous rafraichissent le palais. Si vous n'êtes pas d'humeur festive toutefois, la plupart des blancs secs feront très bien l'affaire.

En tant qu'ingrédient phare de la haute gastronomie jurassienne, les morilles sont traditionnellement associées aux grands vins jaunes de Château-Chalon. Leurs arômes caractéristiques du terroir se marient à la perfection aux intenses saveurs du champignon, alors que son soyeux en bouche accompagne délicatement la sauce crèmeuse sur la finale.
Un autre accord intéressant pour ce plat particulier accentue le côté beurré et grillé de la croûte avec un Chardonnay élevé en fût de chêne, offrant une expression plus intense du même plat.

Dominé par la puissance du beurre à l'ail, il serait presque dommage de servir un vin raffiné et complexe avec ce plat. Contentez-vous d'un blanc relativement modeste sans élevage en bois, tel qu'un Mâcon ou Petit Chablis.

Cette préparation faisant appel à un vin de Chablis, pourquoi ne pas proposer la même bouteille à table? Pour cet accord, demandez à votre caviste un Chablis de style fruité, plus en rondeur plutôt qu'un caractère tendu et minéral.

Cette délicieuse recette de veau riche et crèmeuse nécessite un vin plus corpulent, avec de préférence un élevage en fûts de chêne. Ceci confère à un Chardonnay haut-de-gamme par exemple, des notes légèrement toastées et beurrées, qui se marieront à merveille à un Poulsard léger et fruité de Pupillin.

Le feuilleté Comtois et un plat qui se marie bien avec la majorité des blancs jurassiens, mais aussi parfaitement bien avec un vin rouge à base de Poulsard. En associant la fraicheur et délicatesse d'un blanc avec ses arômes de petits fruits rouges, le Poulsard est un compagnon idéal pour tous jambons ou charcuteries, tout comme le Beaujolais par exemple.

La Flammekueche peut s'apprécier avec une multitude de vins locaux, du Crémant d'Alsace au Pinot Blanc ou Riesling. Pour les amateurs de rouges, on peut aussi servir un Pinot Noir d'un style relativement léger.

Bien que le vin blanc soit l'un des ingrédients de base d'une fondue, ce plat peut parfois se révéler difficile à marier au vin à table. La richesse et la chaleur du fromage fondu font souvent appel à un blanc plutôt léger et neutre, sans être trop tranchant, tel un Chasselas (ou Fendant) suisse de l'autre côté de la montagne. Tandis que les vins du Jura sont réputés pour leur fort caractére, un Côtes-du-Jura Chardonnay, d'un style relativement léger et sans élevage en bois, fera très bien l'affaire.

Accompagné d'une variété de sauces, dont la plupart sont à base de mayonnaise, on ne peut pas dire quil y ait un accord idéal pour la fondue bourguignonne. Servez plutôt un rouge relativement léger, tel qu'un Rully ou un Mercurey de la Côte Chalonnaise, voire même un Beaujolais. En tout cas, évitez les rouges puissants et tanniques, car ceux-ci seront en désaccord avec les sauces. Une autre option originale est de servir un Marsannay rosé!

La gougère étant une pâtisserie relativement neutre, elle sera à l'aise avec de nombreux types de vin, y compris le Champagne. En vin tranquille, la Côte Chalonnaise est une source encore peu connue de Chardonnay d'un excellent rapport qualité/prix en Bourgogne. Lorsque la gougère est servie avec une salade verte, pourquoi ne pas proposer un Saint-Bris, la seule appellation de Bourgogne où figure le cépage Sauvignon Blanc.

Essayer le jambon persillé avec un vin blanc frais et léger tel qu'un Mâcon, ou alors soyez original en servant un Bouzeron à vos invités, la seule appellation village réservée strictement au cépage Aligoté. Pour les amateurs de rouge, le roi de la charcuterie est sans aucun doute le Beaujolais!

Ce plat s'accordera au mieux avec un blanc de cépage Chardonnay de la Côte de Beaune, que ce soit la sous-appellation régionale, ou un village spécifique tel qu'un Pernand-Vergelesses ou un Chassagne-Montrachet pour les grandes occasions.

Pour accompagner une matelote, choisissez un Riesling Grand Cru plutôt rond et intense, et qui pourra tenir tête à la variété de poissons ainsi que la sauce relativement riche.

Vous pouvez présenter à table le vin qui entre dans la préparation de la sauce meurette. Un Bourgogne rouge de la Côte d'Or fera très bien l'affaire, et vous laissera le champ libre pour servir des vins plus corsés avec le plat principal.

Ces petits choux sont parfaits en amuse bouche, servis avec un léger Crémant rafraichissant. L'acidité du vin éveille alors le palais avant le repas et ouvre l'appétit. Par contre, un petit verre de Macvin servi bien frais peut offrir une mise en bouche plus explosive, avec le sucré du vin équilibrant le salé du fromage.

Avec vin jaune et morilles se partageant la vedette dans ce plat, le "jaune" s'impose comme le choix naturel à table. Toutefois, tout blanc à base de Savagnin sera le bienvenu, et un assemblage Savagnin/Chardonnay offrira même un supplément de rondeur pour accentuer la sauce crémeuse, tout en préservant les arômes caractéristiques du Jura.

La sauce vinaigrette de cette salade limite le choix du vin a des blancs relativement neutres, tel qu'un Sylvaner ou Pinot Blanc. Ces vins peuvent supporter l'acidité de la vinaigrette, sans l'amplifier et offrent un bon équilibre.

Les blancs du Jura sont des partenaires naturels pour tous plats à base de Comté. Cette tarte ne fait pas exception et un Chardonnay de style plus léger des Côtes du Jura ou même de l'Étoile accompagnera cette entrée classique tout en fraîcheur. On peut aussi tenter un Crémant pour une petite touche pétillante avant le plat principal.

Un Sylvaner ou Pinot Blanc rafraîchissant établira un équilibre avec cette entrée relativement riche. Toutefois, un Riesling d'un style plutôt léger s'accordera aussi très bien avec la tarte à l'oignon. Éviter les Gewurztraminer ou Pinot Gris plus ronds.

Un Riesling vif et minéral sera le partenaire idéal pour la truite. Lorsque les ingrédients sont de haute qualité, faites-vous plaisir avec un Grand Cru. Pour un repas plus simple, un Sylvaner ira aussi très bien.

En règle générale, le vin qui figure dans une recette se doit d'accompagner le plat à table. Ceci est particulièrement le cas pour le vin jaune, dont le fort caractère s'exprime clairement dans cette classique variante jurassienne de la truite. Le choix évident se porte sur un Château-Chalon, mais un Arbois jaune ou même un simple Savagnin élaboré dans la méthode traditionnelle se marieront parfaitement avec ce plat typique de la gastronomie jurassienne.